Centrafrica

C’est devant une pléthore de journalistes que le bureau de la fédération Centrafricaine de basketball,

par la voix de son Président a présenté ses vœux de nouvelle année aux centrafricains.

Je souhaite à toute la famille de notre basket et à tous nos soutiens mes vœux de bonheur et santé. Ses vœux s’adressent particulièrement au Chef de l’Etat, et à l’ensemble de son Gouvernement, pour tous les appuis multiformes qu’ils ont accordé au basket centrafricain. 

Serge Singha – Président fédération basket

Le Patron du basketball centrafricain a également eu une pensée particulière

pour tous les joueurs, entraineurs, arbitres, présidents de clubs,

et autres acteurs qui interviennent dans la chaine de valeur du basketball centrafricain.

Je leur envoie mes vœux les plus sincères. Car sans eux, il n’y aurait pas de basket centrafricain 

Serge Singha

Cette rencontre avec les médias a été l’occasion pour la fédération centrafricaine de basket,

de présenter sa feuille de route pour l’année de 2022 par la voix de son Directeur Technique National,

Maurice Beyina, ancien international centrafricain.

Selon le DT, cette année 2022,

Un accent particulier sera mis sur la formation des jeunes de 12 a 17 ans.

Un soutien multiformes aux ligues sur toute l’étendue du territoire afin de leur donner,

les moyens de se développer, organiser des activités, et générer des talents pour le basket national.

Il a rappelé que le basket féminin ne sera pas laissé sur le banc de touche.

Il encourage notamment les femmes à s’impliquer davantage dans cette discipline.

Les joueuses centrafricaines ont un grand potentiel. J’encourage les femmes à rentrer plus en action dans le basket et être des forces de propositions, car elles ont toutes leur place dans le basket. 

Maurice Beyina, Directeur Technique National

En Centrafrique, le basketball est le sport roi.

Cependant, ces dernières années n’ont pas été très reluisantes pour ce dernier.

Apres une année 2021 jalonnée par un bilan négatif des fauves lors de compétions internationales,

et des tiraillements entre la fédération et le Ministère de la Jeunesse et des Sports,

à quoi donc faut-il s’attendre en 2022 ?

Interrogé sur le sujet,

le patron du basket centrafricain prône l’apaisement et l’unité :

Dans le basket, il y a de la place pour tout le monde. Concentrons-nous et mettons-nous ensemble pour le développement de notre basket. Je lance un appel pour qu’on soit uni pour le renouveau du basket centrafricain.

Serge Singha, Président fédération basket

A tous les fans de basket en Centrafrique et de la diaspora, on ne peut qu’espérer une seule chose :

que 2022 soit l’année où notre sport roi retrouve sa royauté.